Est-elle comme…
Elle est pareille au vent quand souffle la tempête
Nul n’éveille son âme et du feu son amour,
Elle s’éclipse là, tel le ciel de sa cour
Et pareille à l’aurore un vivant bon poète.
Quand enfin, elle prend la poudre d’escampette
Se laissant transporter par l’odeur de la nuit
D’un reflet sous la lune il est plus de minuit,
Et pareille à l’aurore un vivant bon poète.
Elle a noyé sa plume à l’allure, nymphette
Une icône investie au miroir de l’ennui
Se frayant un chemin sur un instant béni
Et pareille à l’aurore un vivant bon poète.
Elle est pareille au vent quand souffle la tempête
Et pareille à l’aurore un vivant bon poète.
Maria-Dolores
Elle est pareille au vent quand souffle la tempête
Nul n’éveille son âme et du feu son amour,
Elle s’éclipse là, tel le ciel de sa cour
Et pareille à l’aurore un vivant bon poète.
Quand enfin, elle prend la poudre d’escampette
Se laissant transporter par l’odeur de la nuit
D’un reflet sous la lune il est plus de minuit,
Et pareille à l’aurore un vivant bon poète.
Elle a noyé sa plume à l’allure, nymphette
Une icône investie au miroir de l’ennui
Se frayant un chemin sur un instant béni
Et pareille à l’aurore un vivant bon poète.
Elle est pareille au vent quand souffle la tempête
Et pareille à l’aurore un vivant bon poète.
Maria-Dolores