Il y a des jours,
où je doute,
de l'amitié, de l'amour,
sur ces douces mélodies,
je suis en sursis,
Dans toute histoire,
se trouve une partie noire,
dans la mienne,
naît un grand désespoir,
je culpabilise beaucoup,
à mes actes, qu'ils soient bons,
ou mauvais,
je ne sais plus quoi faire,
aimer ou bien détester,
Je ne suis pas comme ça,
j'ai un cœur,
et je m'en sers,
mais je dois ignorer mes sentiments,
si je veux me préserver, maintenant,
c'est très dur, de se mentir à soi-même,
comment faire du bien, à ceux qu'ils m'aiment,
sans que les gens ne vous fasses du mal,
et à qui, ceux qu'ils ont mon sang,
ils sont pire parfois,
je souffre de ça,
c'est vrai, j'ai tellement d'amour à partager,
pourquoi j'ai tant besoin de donner,
je ne le saurai peut-être jamais,
tout ceux que je sais,
c'est qu'aujourd'hui, je vais m'aimer,
et je vais me donner,
car « on est mieux servis que par soi-même »,
je vais donner à ceux qui le méritent,
je vais cesser de donner,
à ceux qui me le font payer,
je vais m'inscrire dans une association,
et je vais donner aux gens qui n'ont rien,
cela me fera du bien,
car jusqu'à présent, je donnais à tout le monde,
mais comme on dit" on ne doit pas,
mettre tout le monde dans le même sac "
je donnais aux gens qui avaient à manger,
pendant que d'autres mourraient de faim,
je donnais à ceux qui pouvaient voyager,
alors que d'autres, étaient coincés dans les bombes, dans leur pays,
je donnais à ceux qui souriaient,
qui étaient hypocrites,
qui me rendaient par le mal,
me dénonçaient, m'enfonçaient,
me décourageaient, me trahissaient,
à ce jour, j'en finis avec ces personnes médisantes,
sans aucune reconnaissance,
qu'ils restent dans leur vie minable,
je ne m'en soucierai plus,
plus de compassion, plus de pitié,
ils ne méritent tout l'énergie,
que je mets, quand je veux faire plaisir,
à quelqu'un,
à l'avenir,
je deviendrai mesquine, indifférente,
Je m’occuperai des vrais pauvres de cœurs, et des vrais besoins,
Tel est mon avenir prochain.
où je doute,
de l'amitié, de l'amour,
sur ces douces mélodies,
je suis en sursis,
Dans toute histoire,
se trouve une partie noire,
dans la mienne,
naît un grand désespoir,
je culpabilise beaucoup,
à mes actes, qu'ils soient bons,
ou mauvais,
je ne sais plus quoi faire,
aimer ou bien détester,
Je ne suis pas comme ça,
j'ai un cœur,
et je m'en sers,
mais je dois ignorer mes sentiments,
si je veux me préserver, maintenant,
c'est très dur, de se mentir à soi-même,
comment faire du bien, à ceux qu'ils m'aiment,
sans que les gens ne vous fasses du mal,
et à qui, ceux qu'ils ont mon sang,
ils sont pire parfois,
je souffre de ça,
c'est vrai, j'ai tellement d'amour à partager,
pourquoi j'ai tant besoin de donner,
je ne le saurai peut-être jamais,
tout ceux que je sais,
c'est qu'aujourd'hui, je vais m'aimer,
et je vais me donner,
car « on est mieux servis que par soi-même »,
je vais donner à ceux qui le méritent,
je vais cesser de donner,
à ceux qui me le font payer,
je vais m'inscrire dans une association,
et je vais donner aux gens qui n'ont rien,
cela me fera du bien,
car jusqu'à présent, je donnais à tout le monde,
mais comme on dit" on ne doit pas,
mettre tout le monde dans le même sac "
je donnais aux gens qui avaient à manger,
pendant que d'autres mourraient de faim,
je donnais à ceux qui pouvaient voyager,
alors que d'autres, étaient coincés dans les bombes, dans leur pays,
je donnais à ceux qui souriaient,
qui étaient hypocrites,
qui me rendaient par le mal,
me dénonçaient, m'enfonçaient,
me décourageaient, me trahissaient,
à ce jour, j'en finis avec ces personnes médisantes,
sans aucune reconnaissance,
qu'ils restent dans leur vie minable,
je ne m'en soucierai plus,
plus de compassion, plus de pitié,
ils ne méritent tout l'énergie,
que je mets, quand je veux faire plaisir,
à quelqu'un,
à l'avenir,
je deviendrai mesquine, indifférente,
Je m’occuperai des vrais pauvres de cœurs, et des vrais besoins,
Tel est mon avenir prochain.